Près de 200 000 ménages locataires à faible revenu éprouvent des problèmes d’abordabilité du logement

Près de 200 000 ménages locataires à faible revenu éprouvent des problèmes d’abordabilité du logement

Bien que les hausses loyer est un enjeu qui touche de plus en plus de ménages, elles affectent de façon plus sévère les ménages à faible revenu. Pour ceux-ci, une hausse du loyer affecte plus directement la part du revenu qui pourra être consacrée à l’alimentation, aux médicaments au transport, aux activités de loisir ou à l’épargne.  Des 261 300 ménages locataires qui consacrent 30 % et plus et leur revenu pour se loger, 197 800 sont à faible revenu. Ces ménages à faible revenu éprouvant des problèmes d’abordabilité du logement représentent 27,2 % de l’ensemble de ménages locataires du Grand Montréal.

PART DES MÉNAGES LOCATAIRES QUI SONT À FAIBLE REVENU* ET QUI CONSACRENT 30 % ET PLUS DE LEUR REVENU BRUT POUR SE LOGER, PARMI L’ENSEMBLE DES MÉNAGES LOCATAIRES

*Faible revenu basé sur la Mesure de faible revenu après impôt (MRF-Apl) de Statistique Canada.

Source : Statistique Canada, Recensement 2016. Traitement : CMM, 2022.